• Une soirée avec Lola

    Un p’tit tour samedi soir au théâtre du P’tit Ouest pour y entendre Lola Lafon et son groupe Leva, du folk électro balkanique, c’est elle qui le dit. Blonde, coiffée et habillée comme la fille du coin de la rue, une robe sur un pantalon, des baskets rouges, une jolie voix quand elle chante une ballade, moins jolie quand cela devient rock, un répertoire politico-féministe, en français, roumain et bulgare. Elle vient de par là, elle en a connu de sévères, elle sait de quoi elle parle quand elle dénonce les violences faites aux femmes dont c’est la journée (comme on dit) ce vingt-cinq novembre. Petit public car petite salle, mais beau succès. Egalement pour les musiciens, un très bon accordéoniste notamment.

    Lola a écrit un livre aussi : Une fièvre impossible à négocier publié chez J’ai lu. Je l’ai parcouru à la Fnaque. Une histoire qui se passe dans le monde de l’ultra gauche radicale. Ça n’a pas retenu mon attention. Mais j’aime bien son titre. Alors je l’ai lu plusieurs fois. Le titre.

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