• Pollution sonore au Marégraphe

    En chemin à pied par les quais, l’autre jour, en direction du Hangar Vingt-Trois afin d’y ouïr Arno, je passe devant l’attrayante terrasse aux chaises colorées du Marégraphe et fais une amère découverte : l’installation de haut-parleurs extérieurs diffusant l’écœurante radio musicale que l’on devait déjà subir à l’intérieur, une nouveauté digne de la défunte Union Soviétique.

    Plus moyen d’aller y boire un café, au Marégraphe, dehors comme dedans, sans subir ce décervelage, une des meilleures terrasses de Rouen pour son emplacement mais interdite à ceux qui ont quelque chose dans la tête. Le bolchevisme est mort, ses navrantes pratiques demeurent, parfaitement intégrées au système marchand.

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